2. Représentations, rumeurs et romance. La campagne de Ségolène Royal

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• Michel Schneider

• Big Mother, celui-ci avait déjà fait de l’extension du pouvoir maternel un risque majeur pour les sociétés occidentales ; il voit dorénavant Ségolène Royal comme l’une de ses incarnations (« le désir maternel que les enfants ne soient pas sexués ») et comme la représentante du « socialisme asexualiste » et du « maternalisme du non-sexe  [84]

• Ségolène Royal « porte rarement des pantalons », parce qu’elle « a sans doute compris que ce n’est pas “en portant la culotte” que les femmes auront plus de pouvoir, mais en gardant dans leurs jupes de mères des enfants effrayés par la seule idée de liberté ».